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J00A - samedi 04 janvier 2025 – Aéroport Bengalore - Hôtel Value Inn Mutthugadhahalli

Distance parcourue :  5,85 Km - Moyenne : 12,08 Km/h

Dénivelé montant : 27 m - Pente montante Maxi : 4 %

Dénivelé descendant : 33 m - Pente descendante Maxi : 2 %

Altitude départ : 907 m - Altitude arrivée : 900 m

Altitude mini :  900 m - Altitude Maxi:  907 m

Heure de départ :  3h20 - Heure d'arrivée : 4 heures du matin

Hôtel : Hôtel Value Inn - No 13, 1st Cross, Near KEB Sub Station Muthugadahalli, Airport Road, Taluk, BK Halli Rd, Jala Hobli, Yelahanka, Bengaluru, Karnataka 562157

Le montage du vélo, le rangement des bagages, l'installation des éclairages, la sortie de l'aéroport prennent un peu de temps. Il reste ensuite à pédaler sur les 5,85 kilomètres qui séparent l'aéroport de l'hôtel que j'ai réservé pour cette première "nuit" prennent du temps et je prends la route vers 3h20 du matin.

La route est facile et elle est éclairée sur presque tous le parcours. Seule quelques centaines de mètres de mauvais chemin pour accéder à l’hôtel ne sont pas éclairées.

Arrivé à l'hôtel il faut réveiller le gardien de nuit et payer et monter les bagages dans la chambre. Lorsque je m'installe dans la chambre il est 4 heures du matin. Le gardien ne veut pas que je rentre le vélo dans la réception ni dans la chambre. Il dit que c'est sûr dehors. C'est peut-être vrai car il y a des motos et l'hôtel est au milieu de nulle part au bout d'un chemin cabossé. J'attache quand le vélo avec un antivol à un poteau car je sais que le gardien va se rendormir aussitôt après que je serai remonté dans la chambre. Il ne faut donc pas compter sur lui pour surveiller.

J00B - samedi 04 janvier 2025 – Hôtel Value Inn Mutthugadhahalli - Kolar

Distance parcourue :  62,88 Km - Moyenne : 13,44 Km/h

Dénivelé montant : 225 m - Pente montante Maxi : 4 %

Dénivelé descendant : 270 m - Pente descendante Maxi : 3 %

Altitude départ : 900 m - Altitude arrivée : 845 m

Altitude mini :  828 m - Altitude Maxi :  921 m

Heure de réveil : 9h45 Heure de départ :  11h35 - Heure d'arrivée : 17h30

Hôtel : Hotel Saidham - 2nd Cross Antharagange Main Road Near KSRTC Bus Stand, Kuvempu Nagar, Kolar, Karnataka 563101, Inde – 1 344 Roupies Indiennes (grande chambre double avec un très grand lit – ascenseur – eau chaude (tiède le soir))
 

En me couchant à plus de 5 heures du matin j’avais mis l’alarme du téléphone à 10 heures mais j’était réveillé vers 9h30. J’ai essayé de prolonger un peu la nuit mais comme le sommeil ne venait pas j’ai quitté le lit 15 minutes plus tard. J’ai ensuite tenté une nouvelle fois d’organiser mieux mes bagages mais je pense qu’il faudra attendre encore quelques pour le faire mieux en fonction des habitudes prises et de ce qui sort des sacs le plus souvent.

J’ai ensuite pris la route vers 11h30 en direction de Kolar. Il y a beaucoup de petites échoppes très simples à moins d’un kilomètre de l’hôtel Value Inn et certaines étaient déjà ouvertes lorsque je suis passé devant cette nuit un peu avant 4 heures. Il y a quelques « hotels » (c’est le nom que portent les restaurant en Inde) qui ne sont que des bidonvilles mais où il a le nécessaire pour cuisiner. J’ai mangé quelques biscuits il y a peu et je continue encore quelques kilomètres. Je reprends en sens inverse une partie du parcours que j’ai suivi cette nuit pour venir de l’aéroport à l’hôtel. Après le passage sous l’autoroute qui dessert l’aéroport je suis sur une route nouvelle pour moi mais sinon identique à la précédentes. Elle longe l’aéroport est large avec 2 fois 2 voies. Lorsqu’elle arrive au bout de l’aéroport elle fait un virage à presque 90° vers la droite et passe en route à chaussée simple. A cet endroit il y a encore des gargotes pour manger et je m’arrête à l’une d’elles. La langue parlée dans cette région est le « Kannada » et elle très différente de ce que nous connaissons aussi bien par les intonations que par l’écriture qui comme beaucoup de langues orientales est composées de signes qui nous sont inconnues. Presque tout le monde parle quand même quelques mots d’anglais et certains qui ont voyagé ou travaillé sur d’autres continent le maitrise beaucoup mieux que moi. On arrive donc à se faire comprendre et de toutes façons ce n’est pas très compliqué car le restaurant où je me suis arrêté n’a qu’un plat de tandori avec du poulet. La seule question à poser et à quel niveau c’est épicé. Sur ce sujet tous ne sont pas d’accord. Pour certain c’est très épicé et pour d’autres c’est peu épicé. Je teste une petite quantité. C’est épicé mais mangeable en ajoutant une bouteille d’eau pour rafraîchir régulièrement la bouche. J’ajoute aussi un œuf cuit dur qui est comme on les fait chez nous et cela aide à faire passer le reste. Après bon nombre de photos avec les tenanciers de la boutique et pratiquement tous les clients présents je reprends la route. C’est assez monotone et il n’y a rien d’exceptionnel à voir à part la circulation dense, la conduite à l’Indienne (je klaxonne et je passe les plus petits dégageront devant moi) et la pollution qui est visible et qui se sent aussi. Les pentes ne sont pas fortes mais la route n’est presque jamais plate. Ce sont presque toujours des petites montées et des petites descentes. Le plus souvent à 1 ou 2% mais il y a un vent de face et c’est aussi le premier jour et je trouve ce premier parcours bien assez difficile.

Je trouve facilement un hôtel à peu près correct à Kolar et à un prix aussi correct à 850 Roupies (environ 10 Euros) mais la rue devant est très encombrée et il n’y a guère d’autres solution que d’y laisser le vélo. Les employés de l’hôtel me guident vers un autre hôtel proche qui est selon eux au même prix. Il est en réalité significativement plus cher mais le prix de 1344 Roupies (environ 15 Euros) reste raisonnable et le rapport qualité prix est meilleur que dans le premier. Il y a un gardien de nuit qui m’assure que le vélo ne risque rien devant l’hôtel et je lui fais confiance.

Le soir je vais acheter des aliments non épicés que je mange dans la chambre.

J01 - dimanche 05 janvier 2025 - Kolar - Gudiyatham

Distance parcourue : 105,44 Km - Moyenne : 13,57 Km/h

Dénivelé montant : 430 m - Pente montante Maxi : 6 % (9% sur la partie en chantier)

Dénivelé descendant : 995 m - Pente descendante Maxi : 8 %

Altitude départ : 845 m - Altitude arrivée : 280 m

Altitude mini :  277 m - Altitude Maxi :  869 m

Heure de réveil : 9h - Heure de départ : 10h30 - Heure d'arrivée : 20h30

Hôtel : Mani residency - Arunachala Nagar, Gudiyatham, Tamil Nadu 632602, Inde – chambre double avec ventilateur et eau chaude : 1200 Roupies Indienne (environ 13,50 Euros)

 

Lorsque je me réveille ce matin vers 8h15 je trouve un journal en langue anglaise Glissé sous la porte et agrafé dessus un bon pour le petit déjeuner qui est servi entre 7h30 et 10 heures. Le réceptionniste ne m’en a pas parlé mais le petit déjeuner était inclus dans le prix de la chambre.

Je trouve que ce réveille est un précoce car je me suis endormi assez tard. Je me recouche mais le sommeil ne revient pas et je me lève vers 9 heures. Je descends avec mon bon pour prendre le petit déjeuner dans le restaurant (les restaurants sont appelés « hôtel » en Inde et les hôtels se nomme parfois hôtels mais le plus souvent residency ou Lodge. Je suis accueil par trois serveurs souriants qui prennent mon bon et me désigne une table où m’installer. Je n’attends que quelques minutes avant qu’un jeune serveur arrive avec une assiette bien remplie de différents mets. C’est beaucoup plus copieux que mes habituels petits déjeuner. Je commence par une espèce de beignets fourré (avec de la viande je suppose) que je suspecte d’être épicé. Il l’est un peu mais c’est mangeable et le serveur qui reste à proximité rempli mon verre d’eau chaque fois que je le vide. Le reste du repas est plutôt du sucré. Lorsque j’ai terminé le serveur me demande si je souhaite un thé ou un café. Je prends du thé car j’essaie d’éviter le café lorsque je dois faire du vélo car je suspecte cette boisson de favoriser les crampes.

Comme hier soir à mon arrivée le personnel disponible (cas des serveurs qui n’ont plus de clients) et quelques clients qui partent en même temps que moi viennent assister au chargement du vélo. Parmi les nombreuses questions qu’ils posent la plus surprenante est qu’ils pensent que mes sacoches contiennent des batterie alors que même s’ils ne sont pas des spécialistes du vélo ils devaient voir que celui-ci n’a pas de moteur

Je prends finalement la route vers 10h30 et fait un petit arrêt presque de suite car comme hier matin mon compteur ne démarre pas. Comme tout est en place et bien positionné je soupçonne que les contacts entre le support et le compteur sont oxydés et ne transmettent pas le signal. Je gratte un peu les contacts du support avec un petit tournevis et tout rentre dans l’ordre.

Aussitôt sorti de la ville mon itinéraire suit des petites routes calmes et agréables. Il y a très peu de voitures et un peu plus de motos mais ce n’est rien en comparaison à hier. Il y a toujours de petites montées et descente mais le pourcentage sont très faibles et permettent de maintenir une bonne allure. L’air est aussi probablement beaucoup plus sain car l’odeur de gaz d’échappement en est absente. L’environnement n’a rien d’extraordinaire mais reste plaisant. Sur environ le 20 premiers kilomètres il y a beaucoup de cultures irriguées. Ensuite la nature ressemble plus à celle d’hier avec des terrains qui semblent être pauvre et caillouteux et conviennent plus pour faire paître chèvres ou moutons que pour le labourage.

Plus j’avance et plus la route devient étroite que ce n’est un chemin ou un sentier. Hier déjà j’ai été très sollicité par des questions et des demandes se selfies. Aujourd’hui je suis des routes qui doivent être utilisées principalement par les gens des villages qui les bordent. Je dois donc être un des rares touristes qui s’aventures ici et presque tous ceux qui me doublent ou me croisent font tout leur possible pour m’arrêter et pouvoir échanger quelques mots et faire un selfie. Le plus long arrêt a été avec 2 motos occupées par 6 jeunes hommes. Ils voulaient savoir beaucoup de choses et le dialogue entre nous n’était pas facile. Ils ont aussi fait quantité de selfie avec chacun son téléphone. Ils voulaient absolument m’inviter à manger et à boire. J’ai eu des dizaines de sollicitations du même genre mais ce sont eux qui ont été les plus instant. J’avais un long parcours aujourd’hui et je savais qu’il y avait peu de chance que j’arrive à destination avant la nuit. J’avais donc mis dans mes sacoches de quoi satisfaire mon appétit. Ils ont fini par laisser tomber mais ile m’ont quand même fait arrêter dans le village suivant pour me remettre deux cannettes de RedBull. Je les ai remerciés et l’intention était bonne mais je consomme de l’eau lorsque je fais du vélo et surtout pas du RedBull qui contient de caféine que j’évite en me privant de café alors que c’est ma boisson favorite.
Je me retrouve ensuite sur de très petites routes pour finir sur des chemins à peine franchissables en vélo et assez rapidement sur le chantier de construction d’une grande route qui coupe mon parcours préparé. La nouvelle route est très surélevée et je cherche donc un passage en dessous. J’en trouve un sous un pont en construction. Il y a une forte pente pour en sortir et je commence à sentir les crampes venir. Sur ce terrain il n’est pas possible de ménager ses muscles qui sont très sollicités pour franchir trous et autres obstacles. Une fois de l’autres coté de la voie il y un chemin construit pour les besoins de chantier qui est parallèle à la route. Il est presque parallèle aussi à ma trace. Je suis donc ce chemin dans le sens qui est celui de ma trace. Il y a d’abord une grande descente pour une grande montée. Arrivé en haut de cette dernière j’ai une bonne vue sur la route en construction mais il n’est pas possible encore de l’emprunter car il manque de nombreux ponts. Je regarde le GPS et je me suis bien éloigné de ma trace qui n’est pas vraiment parallèle à ce chemin. Je repars donc dans l’autre sens car si ce coté m’éloigne de la trace l’autre devrait m’en rapprocher. C’est en effet ce qui arrive et je fini par rejoindre ma trace qui suivais un chemin étroit et cabossé mais praticable en vélo. Je retrouve le goudron après quelques kilomètres et j’y resterai jusqu’au bout du parcours. J’imaginai la fin du parcours souvent descendant mais ce n’est pas le cas. Il y a en effet plus des descentes que de montées mais n’y a en réalité que 3 kilomètres de vraie descente. Sur le reste du parcours ce n’est que succession de montée jusqu’à 6% et de descentes un peu plus longues que les montées. Je dois encore faire quelques arrêts à cause des crampes et je fini par aborder les montées avec la pédale très légère. Cela n’améliore pas la moyenne mais c’est efficace sur ces pentes pas très raides pour gérer les crampes. Lorsque la nuit arrive je suis encore à une bonne trentaine de kilomètres de mon but. J’équipe le vélo des éclairages et je continue de nuit. Cela se passe plutôt bien et bizarrement le plus difficile est dans les traversées de petites villes ou de villages. Il y a alors beaucoup de gens sans éclairage et aussi les vaches qui vagabondent au grès de leurs envies sans se soucier de la circulation.
A Gudiyatham je vais directement au bout de ma trace. Il y avait deux hôtels mais je n’ai vu le premier que plus tard. Je prends donc une chambre au deuxième hôtel qui s’appelle « mani residency ». La chambre avec ventilateur est a 1200 Roupies et j’ai lu dans le commentaires que l’autre hôtel était à un prix nettement plus bas. Peu importe le prix me convient et il est tard. Le réceptionniste me dit que le « hotels» (ce qu’on appelle restaurants) ferment entre 21h et 21h30. Comme il est déjà 20h30 passé je monte mes bagages dans la chambre et rentre mon vélo dans le local que le réceptionniste m’a désigné et je pars de suite acheter un repas à emporter. Je trouve facilement un établissement encore ouvert et en utilisant le traducteur vocal en « Tamoul » (c’est la langue parlée dans cette ville) j’obtient une barquette de riz sauté que j’ai demandé pas épicer mais faire de la cuisine non épicée doit être un sacrilège en Inde et le cuisinier, qui fait le plat devant moi, ne veut pas ne pas ajouter quelques pincées d’épices. Il dit que ce sera très léger et finalement ce sera un petit peu épicé pour moi et donc sans doute très légèrement épicé pour un Indien. Je quitte le restaurant avec une grosse barquette de riz sauté avec du poulet de deux chapati (sorte de crêpe qui est utilisé comme le pain chez nous) et mon capitale n’a baissé que de 120 roupies Indiennes (environ 1,40 Euros).

J02 - lundi 06 janvier 2025 - Gudiyatham - Walajapet

Distance parcourue : 65,46 Km - Moyenne : 13,04 Km/h

Dénivelé montant : 108 m - Pente montante Maxi : 3 %

Dénivelé descendant : 233 m - Pente descendante Maxi : 2 %

Altitude départ : 280 m - Altitude arrivée : 155 m

Altitude mini : 154  m -  Altitude Maxi: 291 m

Heure de réveil : 9h50 - Heure de départ : 11h10 - Heure d'arrivée : 18h00

Hôtel : Sri Krish Hotel - 1, Ganapathi Nagar, edakuppam road, Walajapet, Tamil Nadu 632513, Inde.
Chambre double au rez de chaussée – Maison dans petit hameau hors de la route – eau froide – 700 Roupies Indiennes la nuit.

Le parcours prévu pour aujourd’hui est court et facile et comme je me couché tard vers 2h30 du matin il est presque 10 heures lorsque je me réveille. Je mange un peu dans la chambre, descends mes bagages et récupère mon vélo dans le local où il a été fermé pour la nuit.

Il est 11 heures passé lorsque je prends la route. Le profil est sans difficulté sur tout le parcours mais il est également sur des routes plus fréquentées que celles que j’ai suivi hier. Les premiers 40 kilomètres jusqu’à Vellore n’offrent pas paysages extraordinaires mais la route est plutôt agréable avec une circulation acceptable. A Vellore je retrouve l’air pollué, les bouchons et les klaxons. Après la ville mon parcours longe une voie rapide et il y a de la circulation sur la voie rapide mais aussi sur la route que je suis. Il n’y aucun paysage sur ces trente kilomètres car la route est coincée entre le mur ou les barrières de la voie rapide et les bâtiments qui sont de l’autre côté. 

Les hébergements que j’avais repérés sont dans un endroit vraiment très bruyant pour le premier qui à côté d’une gare routière pour l’un et pour le deuxième la porte est fermée avec un numéro de téléphone inscrit sur la porte. Comme les appels ne sont pas inclus en Inde avec ma carte SIM Free je continue ma route vers d’autres hébergements affichés sur Google maps.

Le premier est à l’écart à 700 mètres de la route mais on y accède par un bon chemin. L’endroit et calme et c’est reposant après tout le bruit que mes oreilles ont subi depuis environ 3 heures. Il n’y a aucune indication sur aucune des maisons du hameau mais il y a des gens dehors et avec le traducteur Français Tamoul Je pose la question à des femmes qui discutent devant une maison. Elles comprennent tout de suite et me montre une maison de l’autre côté de la rue. Il ne doit pas ya voir beaucoup de chambre et celle disponible n’est pas prête mais elle peut l’être rapidement. Il y a aussi un problème avec les serviettes car toutes celles disponibles sont à laver. En insistant le patron monte dans les chambres de l’étage et revient avec une serviette propre.

Cet hébergement est un peu à l’écart de mon parcours préparé pour demain mais je devrais pouvoir m’y raccorder sans revenir sur mes pas.


 

J03 - mardi 07 janvier 2025 - Walajapet - Tiruvallur

Distance parcourue : 75,92 Km - Moyenne : 14,57 Km/h

Dénivelé montant : 51 m - Pente montante Maxi : 3 %

Dénivelé descendant : 109 m - Pente descendante Maxi : 2 %

Altitude départ : 155 m - Altitude arrivée : 46 m

Altitude mini : 41 m - Altitude Maxi : 184 m

Heure de réveil : 7h50 - Heure de départ : 9h04 - Heure d'arrivée : 16h30

Hôtel : Selvi Palace – N°35, Netheji Road – Tiruvallur – 602 001 – Chambre double avec ventilateur et douche eau chaude et eau froide mais au broc -ventilateur – je vois un réseau wifi mais je n’ai pas testé – 800 Roupie Indiennes (environ 9,50 Euros)

Je me suis écarté de mon trajet prévu hier pour trouver un hébergement et pour ne pas revenir en arrière j’ai fait un nouveau tracé pour arriver à la destination prévue aujourd’hui avec un départ de l’endroit où j’ai dormi. Ce nouveau parcours est plus court d’environ 8 kilomètres que le précédent et il commence en continuant vers le Nord sur la très petite route qui m’a amené à l’hébergement hier soir. Je ne sais pas comment aurait été l’ancien parcours mais celui que je suis aujourd’hui est parfait. Sur la plus grande partie du parcours j’emprunte de très petites routes qui le plus souvent serpentent entre les cultures qui sont dans cette région principalement des rizières. Il y a très peu de circulation et ce sont surtout des motos et aussi quelques rares camions, tracteurs ou TukTuks qui transportent des marchandises. Je rejoins une route avec plus de circulation à une vingtaine de kilomètres mais cela reste une route tranquille. Il n’y a que sur les deux derniers kilomètres qui sont une route très fréquentée et en ville.

Je me réveille « tôt » (7h50) ce matin et lorsque je quitte l’hébergement il n’y a personne dans la maison. Le portail n’est pas fermé à clé et je n’ai pas de problème pour quitter la maison. Après quelques kilomètres sur la petite très tranquille qui serpente entre les rizières je croise le patron de l’hébergement que je viens de quitter. Il est en moto et s’arrête pour me demander si je pars ou si je fais juste un tour. Il me pose une autre question que je ne comprends pas mais elle concernait probablement la nourriture. Il me demande quelle est ma destination pour aujourd’hui et il reprend la route vers sa maison et moi vers la destination que j’ai choisie. Le parcours du jour est principalement plat et avec une perte d’altitude d’une centaine de mètres. Malgré cela jai’ comme les jours précédents, l’impression de faire plus d’effort que nécessaire sur ce terrain et je plafonne à 17 oun18 km/h. Depuis le début j’entendais un petit bruit de frottement à l’avant mais je ne m’en étais pas soucié (les premiers jours de voyage avec le décalage horaire et autres changements je manque souvent de lucidité). Je fais donc un arrêt au kilomètre 30 environ et je m’aperçois que mon disque avant est très voilé et frotte très sérieusement à chaque. Je tente d’abord de le redressé et il y a un petit résultat. Le disque frotte toujours un peu mais la roue lancée fait plusieurs tours avant de s’arrêter alors qu’avant elle s’arrêtait net sur la partie voilée. Je reprends la route et la vitesse est bien meilleure avec un effort moindre mais il subsiste un petit bruit de frottement. J’ai un disque de rechange (ce n’est pas lourd) dans les sacoches et je fais un nouvel arrêt à l’ombre pour faire l’échange. J’ai à peine commencé qu’une moto avec deux jeunes hommes s’arrêtent. L’un des deux prend dans mes outils et continue la tache que j’avais commencé. Il doit avoir l’habitude de faire de la mécanique car il a les bons gestes et travaille vite. Lancien disque est rapidement démonté et remplacé par le nouveau. Mes assistants repartent satisfait de leur travail. Je recentre ensuite l’étrier qui en avait aussi besoin. Le nouveau disque est aussi un peu voilé mais c’est normal car il n’a pas toujours été bien traité pendant les années qu’il a passées dans les sacoches. L’essentiel est qu’il ne frotte pas et que la roue avant tourne maintenant librement.

Arrivé à la ville de Tiruvallur je m’arrête un nomment devant une guesthouse mais l’endroit est très bruyant et len voyant la surface vitrée de l’établissement je crains que l’intérieur ne soit un four. Je regarde les hôtels sur Google maps. Il y en a beaucoup dans la ville et ma trace préparée (j’ai rejoint l’ancienne trace en fin de parcours) passe devant plusieurs. Je continue donc ma route et je commence à regarder autour de moi aussitôt après avoir quitté la bruyante route principale. Assez vite je vois un panneau « Selvi Place » et un homme assis à côté. Je m’arrête pour obtenir des informations. IL y a des chambres disponibles et le prix est de 800 Roupies Indiennes (environ 9,50 Euros) la nuit (24 heures si j’ai bien compris mais je repars demain matin). Bien que son nom l’indique ce n’est pas un palace. Les chambres sont simples et la douche au broc mais avec quand même de l’eau chaude. Il y a une climatisation qui ne marche plus et un ventilateur de plafond qui fonctionne. C’est donc un établissement simple mais très bien tenu et propre.

J04 - mercredi 08 janvier 2025 - Tiruvallur - Chennai

Distance parcourue : 47,71 Km - Moyenne : 12,64 Km/h

Dénivelé montant : 47 m - Pente montante Maxi : 3 %

Dénivelé descendant : 83 m - Pente descendante Maxi : 3 %

Altitude départ : 46 m - Altitude arrivée : 10 m

Altitude mini : 5 m - Altitude Maxi : 47 m

Heure de réveil : 8h30 - Heure de départ : 10h30 - Heure d'arrivée : 16 h

Hôtel : Nile Guesthouse – Chambre avec deux lits simples – Ventilateur – douche froide – WC à la Turc - Adam market, 337, Triplicane High Rd, Indra Nagar, Ellis Puram, Padupakkam, Triplicane, Chennai, Tamil Nadu 600005, Inde –

600 Roupies Indiennes la nuit pour la chambre occupée pae une personne.

Le parcours prévu aujourd’hui est court et j’en profite pour trainer un peu au lit et compenser mon déficit de sommeil. Une fois debout je me mets à jour dans mes messages que j’avais négligé de consulter depuis quelques jours. Il est environ 10h20 lorsque je quitte l’hôtel.

A part au début du parcours où il y a une petite dizaine de kilomètres de routes sans intérêt mais hors agglomération tout le reste du parcours sera en ville avec une circulation dense et beaucoup de gaz d’échappement. Le parcours que j’ai préparé évite autant que possible les très grandes voies mais il n’est pas certain que ce soit un bon choix. Sur les grands axes la circulation est fluide et il n’y a pas ou peu de ralentisseur s ni de feu de circulation. Les rues que je suis ont souvent une chaussée en mauvais état, une circulation dense et anarchique, beaucoup de ralentisseurs et d’intersections et d’embouteillages. Le terrain est facile mais les conditions de circulation ne permettent pas d’avancer vite.

Je fais une petite pause repas vers 13 dans une des rares endroits que je vois un peu à l’écart de la circulation avec la possibilité de manger confortablement assis dans un local frais et ombragé. Je prends une omelette et un milkshake chocolaté frais.

Arrivé au bout de ma trace préparée je visite un hôtel qui a un parking en sous-sol, des chambres et des chambres basiques mais correctes à 700 INR. Le problème est que les chambres sont au troisième étage et que l’ascenseur est en panne. Il doit être réparé dans deux heures mais rien ne le garanti. Il y a beaucoup d’hébergement dans le coin et continue à chercher. Le suivant où je demande n’accepte que les clients de nationalité indienne. Le troisième sera le bon. IL propose des chambres correctes à 600 INR (environ 7 Euros). Le vélo restera stationné dans le long couloir qui relie la réception à la rue. Le réceptionniste me dit que c’est sûr.

J05 - jeudi 09 janvier 2025 - Chennai - Mahabalipuram

Distance parcourue : 56,55 Km - Moyenne : 14,69 Km/h

Dénivelé montant : 35 m - Pente montante Maxi : 2 %

Dénivelé descendant : 36 m - Pente descendante Maxi : 2 %

Altitude départ : 10 m - Altitude arrivée : 9 m

Altitude mini :  -1 m - Altitude Maxi : 17 m

Heure de réveil : 8h10 - Heure de départ : 9h30 - Heure d'arrivée : 14h20

Hôtel : Rajalakshmi Guest House – Othavadai Cross St, Fisherman Colony, Mahabalipuram, Tamil Nadu 603104, Inde

Chambre avec 1 lit double au rez de chaussée – ventilateur – Salle de bain avec eau chaude – Lavabo dans la chambre pas de miroir – table + chaise – 800 INR la nuit

Je quitte mon hébergement à Chennai vers 9h30 ce matin. Ce n’est pas tôt mais le parcours prévu pour aujourd’hui est court et sans difficulté. Les 32 premiers kilomètres sont en agglomération avec une circulation dense et anarchique. En dehors des deux ou trois premiers kilomètres tout le parcours est en travaux. Cela commence avec une route barrée pour réfection du goudron avec une déviation car la voie est complétement barrée par des travaux. Il n’y aucune indication d’itinéraire de remplacement mais avec le GPS je retrouve la trace un peu plus loin après quelques détours.

Ensuite et jusqu’à la sortie de l’agglomération c’est la construction d’un très long ouvrage (environ 25 kilomètres je pense) surélevé (probablement un métro aérien) qui réduit la largeur des voies de circulation. La voie de droite dans les deux sens est barrée par des panneaux pour sécuriser la zone où les piliers sont en construction. Dans le sens où je circule les murs qui séparent les voies rapides de la contre allée (voies qui desservent les commerces et habitations) a été parfois détruit et remplacé par du goudron très incliné car la contre allée est surélevée par rapport aux voies rapides. On peut rouler un peu sur ce pan incliné mais la voie n’est pas continue car il y parfois des poteaux ou autres ouvrages. Cela permet quand même à une partie du flot d’accéder à la contre allée lorsque les voies rapides sont réduites à une seule voie. La circulation est très dense et chacun se faufile au mieux comme partout en Inde. Ces premiers 32 kilomètres demandent donc une très grande vigilance car, comme les autres conducteurs, je dois me faufiler pour gagner ma place dans la circulation.

Le terrain est facile et sur les quelques rares portions sans embouteillage j’avance à 20 ou 22 km/h mais comme c’est rare et à la fin des travaux ma moyenne n’est que de 13 km/h mais ce n’est un problème car il n’y a aucun risque que je termine de nuit aujourd’hui.

Après les travaux c’est encore une route à chaussées séparées mais celle-ci est en très bon état et il y a peu de circulation. Je fais une pause repas léger, pain omelette et un thé, aussitôt arrivé sur une portion avec peu de circulation et où l’air est respirable sans regrets.

Tout le reste du parcours jusqu’à l’entrée de Mahabalipuram se passe sur une bonne route à chaussée séparée avec peu de circulation. Il n’y a pas non plus d’ombre car la végétation du terreplein centrale n’est pas haute et celle du coté gauche n’est guère mieux et éloignée de la route.

Je m’arrête à l’entrée de Mahabalipuram pour regarder vers quel hébergement me conduit ma trace (la préparation est ancienne). Le choix d’emplacement me semble bon et je remonte sur le vélo. Peu après un homme à moto me dépasse et me demande si je cherche un hébergement pas cher. Je dis « oui » et il me dit de le suivre. En le suivant j’arrive exactement là où se terminait ma trace. Une femme me fait visiter la chambre qui correspond à ce dont j’ai besoin. Le prix de 800 INR (environ 9,2 Euros) qui n’est annoncé semble correcte en comparaison à ce que j’ai eu jusqu’à ce jour. Je m’apercevrais plus tard que cet hébergement était proposé à moins cher sur Agoda et autres sites de réservation. Si j’étais arrivé seul ici j’aurais regardé le prix avant de visiter mais tout a été précipité par mon guide. Ceci n’est vraiment pas un problème car le prix reste bas et la différence n’est pas significative. Il est par ailleurs probable que les hébergements, qui sont se font une grosse concurrence dans cette ville, ne couvrent que juste leurs frais avec les prix qu’ils proposent sur Internet. Si un ou deux Euros de plus leur permet d’améliorer un peu leur quotidien sans que mon porte monnaies ne le ressente ce n’est peut-être pas plus mal.

Après la douche et la routine quotidienne de la petite lessive je vais faire un tour sur la plage qui est à une centaine de mètres de l’hébergement. Il y a de grosses vagues et des touristes en maillots sur la plage mais dans l’eau il n’y a que des femmes indiennes entièrement habillées. Le « shore temple » (classé au patrimoine mondial de l’UNESCO) est à une centaine de mètres au bout de la plage. J’ai vu sur Internet que l’entrée de ce site était à 35 INR pour les Indiens et à 600 INR pour les touristes. J’ai déjà vu beaucoup de temples de ce type et je me contenterai de le regarder de l’extérieur. Il faut juste gravir quelques rochers pour accéder au mur réhaussé de grilles qui clôture le site. On voit très bien le temple de l’extérieur et aussi les visiteurs qui sont presque uniquement Indiens. A l’extérieur du site il y a des femmes qui vendent nourriture, boissons et babioles à travers les grilles aux touristes qui visitent le site.

Un petit sentier contourne le site et se termine sur une autre plage qui est beaucoup plus animée que celle du côté de mon hébergement. Cette plage semble être prisée par les Indiens car il y a foule et encore des femmes, et aussi quelques hommes mais beaucoup moins nombreux, qui se baignent entièrement habillées. Sur la plage Il y a des hommes avec de beaux chevaux qui vendent des balades à cheval au pas avec le propriétaire qui marche et guide le cheval. Un peu en retrait il y a de nombreux stands de nourriture, boissons, des manèges, des vendeurs de babioles et des mendiants.
Sur cette plage je rencontre 3 touristes français qui viennent juste d’arriver en Inde et qui doivent y rester 3 semaines. Ils ont loué une voiture avec chauffeur et ne restent à Mahabalipuram que deux nuits. Demain ils veulent visiter le « shore temple » et les autres sites proches. Je suis passé non loin de ces deux sites mais j’ai lu que « Tiger cave » était un petit site avec principalement une pierre sculptée (tiger cave) et le prix de l’entrée pour les non Indiens est de 300 INR. « Arulmigu Murugan Tamil God Temple » serait un site très ancien qui aurait surtout un intérêt pour les chercheurs. Il ne semble pas que l’accès soit payant mais il est aussi probable que je n’y aurais pas beaucoup trouvé d’intérêt. Je ne me suis donc pas arrêté pour visiter ces sites et la vue extérieur du « shore temple » ainsi que le spectacle de la foule sur la plage mes suffisent amplement.  

J06 - vendredi 10 janvier 2025 - Mahabalipuram - Marakkanam

Distance parcourue : 63,53 Km - Moyenne : 16,60 Km/h

Dénivelé montant : 58 m - Pente montante Maxi : 3 % (globalement plat)

Dénivelé descendant : 62 m - Pente descendante Maxi : 2 %

Altitude départ : 9 m - Altitude arrivée : 13 m

Altitude mini : 0 m - Altitude Maxi :  18 m

Heure de réveil : 8h30 - Heure de départ : 10h10 - Heure d'arrivée : 15h15

Hôtel : Arasan Guest House – No,28, 29, Bunglow St, Madheena Nagar, Marakkanam, Tamil Nadu 604303, Inde - Chambre double climatisée - eau chaude – 1200 INR soit environ 13,70 Euros (chambre occupée par 1 personne sinon 1400 INR pour 2 personnes).

Des groupes d’Indiens avec une grande majorité de femmes sont arrivés à l’hôtel hier soir alors que je rentrais du restaurant. Je pense que ce groupe était dans la foule sur la plage hier lorsque je l’ai visitée et qu’elles y sont restées tard. Au moins un groupe a quitté l’hôtel vers 4 heures du matin sans trop de discrétion avec un homme qui semblaient donner des directives en parlant très fort pour couvrir le bavardage des femmes. Il y a eu un autre groupe tout aussi bruyant vers 6heures du matin. Ma nuit a donc été un peu entrecoupée et à mon réveil vers 7h30 j’ai jugé que je pouvais me permettre de dormir encore un peu. Ce n’est donc que vers 8h30 que je me suis levé. J’aurais pu partir rapidement mais j’ai encore trainé à diverses occupations et ce n’est que vers 10h10 que j’ai pris la route.

Mahabalipuram est un gros village et j’en suis sorti rapidement pour retrouver la route empruntée hier qui est toujours en bon état et peu fréquentée. Il y a encore des travaux sur presque tout le parcours sur cette grande route qui est en cours de réfection totale. Comme la circulation n’est pas dense les travaux ne gênent pas beaucoup. Certaines déviations provisoires viennent d’être goudronnées et sont bonnes. D’autres plus anciennes se sont déjà bien affaissées et des « rustines » ont été mises sur les trous. Ces passages sont peu confortables mais globalement la route et très acceptable. Vers la fin du parcours j’ai quitté la grande route sur environ 7km pour en suivre une beaucoup plus petite presque déserte avec un bon revêtement et un peu plus directe.

Arrivé à la « ville » de destination je regarde à nouveau les hébergements sur Google maps mais rien n’a changé et celui qui est au bout de ma trace reste la meilleure option pour moi. La guest house est à environ 500 mètres du centre du village et j’y arrive rapidement. Les prix affichés sont de 1400 INR pour les chambres simples et un peu plus cher pour les chambres doubles. La chambre est propre et bien équipée mais un peu petite. Il y a un passage fermé entre la guest house et la maison voisine qui sert de parking. Le prix est un peu élevé mais il y a peu de concurrence ici et les autres hébergements sont beaucoup plus chers. J’accepte donc le prix et décharge mes bagages avant de payer car le porte monnaies et le passeport sont restés sur le vélo. Au moment de payer le réceptionniste me dit que le prix est de 1200 INR. Je ne sais pas si c’est le fait d’être en vélo ou un étranger ou une personne plus très jeune qui me vaut cette remise et je paie sans poser la question.

Vers 19 heures je vais faire un tour du village à pied pour acheter à manger pour ce soir et pour demain matin. Pour la viennoiserie du matin c’est facile car sur les quelques centaines de mètres que je parcours en ville, en évitant les vaches qui se sont couchés pour la nuit là où elles se trouvent bien, j’ai vu quatre pâtisseries et toutes avaient beaucoup de choix à proposer. Il y a aussi des restaurants, appelés hotels en Inde, et j’en trouve un qui me fait un riz sauté avec quelques légumes, du poulet et sans épices. Ce n’est pas très différent de ce que j’ai mangé à midi (riz avec un bouillon de poulets un peu épicé (normal spicy c’est le minimum ici), quelques morceaux de choux fleurs « normal spicy », un œuf cuit dur dans une sauce (very spicy pour moi) et un petit poisson grillé non épicé). Je pense qu’en dehors des villes touristiques comme hier à Mahabalipuram ou j’ai mangé des pennes avec du poulpe en sauce non épicée ces plats à base de riz ou les omelettes sur du pain seront les principaux aliments que je consommerai. L’offre de fruits est moins variée en Inde que dans les pays d’Asie du Sud Est. Pour l’instant je n’ai trouvé que des bananes et des oranges. Il y a aussi du raisin ou du moins quelque chose qui y ressemble avec des grains plus petits et allongés. Je n’en ai pas encore acheté car le raisin n'est pas idéal pour le transport dans les sacoches.

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